Nous avons d’abord demandé l’âge des participants pour savoir quel public nous touchions. En effet, avec l’âge et la génération les personnes réfléchissent et pensent différemment. Nous remarquons que notre sondage a plus touché des jeunes personnes.

La blockchain étant une nouvelle technologie il est intéressant de savoir qui connait le sujet.

Nous remarquons ici que c’est assez équilibré mais nous avons tout de même un peu plus de 50% qui connaissent au minimum le principe de base.

Pour une meilleure analyse, nous avons demandé si les candidats possèdent de la cryptomonnaie. Cette question permet de savoir si les candidats sont directement touchés par les questions qui suivront avec l’anonymat. Nous apercevons que la majorité (¾ des individus) n’utilise pas la blockchain et ne possède pas de cryptomonnaies.

Avant de s’intéresser à l’anonymat et la blockchain, nous nous intéressons à l’anonymat en général sur internet. Nous constatons que 70% des candidats préfèrent garder leur anonymat mais nous avons tout de même 10% d’entre eux qui n’ont pas voulu se prononcer.

Ensuite, concernant l’anonymat des transactions cette fois c’est différent. Seulement 49% d’entre souhaitent être anonyme et 33% n’ont pas donné leur avis.

Nous avons mis les candidats en situation. Dans cette situation les pourcentages changent, 31% veulent rester anonyme et cette fois-ci seulement 23% n’ont pas donné leur opinion.

Pour finir, nous avons reposé la question principale pour vérifier s’ils sont toujours d’accord avec leur choix précédent. On se rend compte que cette fois que la majorité est contre avec 58%.