Concept
Bentham remarque qu'il n'y a pas que le plaisir qui nous guide dans nos actes mais aussi d'autres choses tel que la peine et le dégout. La dignité humaine, pour lui, est notre capacité à ressentir. Le premier qu'il met en évidence est le principe d'utilité. C'est la capacité qu'a un objet ou une décision à contribuer à l'augmentation d'un plaisir et/ou à diminuer une peine (utilitarisme). Le second point est le principe d'égalité de tous les êtres humains. Il n'y a pas que son utilité qui compte mais aussi celle de tous les partis prenants de l'action. Il est à noter que Bentham considère ce raisonnement valable pour les hommes mais aussi pour tous les êtres vivants capable de ressentir.
Application
Si l'on considère l'utilité de l'automatisation, les machines permettent de simplifier l'activité de nombreux travailleurs, elles augmentent la productivité et la rapidité des tâches ainsi que leur précision d'exécution. Tout cela en diminuant les coûts de production afin de rester compétitif dans le marché. En plus, elles permettent donc aux travailleurs de réaliser différentes tâches et de diminuer celles rébarbatives. Ainsi que d'augmenter la sécurité des travailleurs en déléguant les tâches dangereuses et en aidant les personnes plus âgées dans leur travail (production flexible alliant l'homme et la machine). Un point mis en évidence par l'IA est qu'elle permettrait de nous aider à réduire les maladies et la pauvreté dans le monde. Elle permettrait une analyse précise des diagnostics et des données. Si l'on suit seulement ce principe, il n'y a que des points positifs à cette technologie car elle est créée dans l'optique d'aider l'humain. En effet, même si le travail humain est intégralement remplacé par les machines, cela laisserait les personnes avec plus de temps libre et la possibilité de faire d'autres choses.
Cependant, il faut aussi considérer le principe d'égalité. Il faudrait dans un premier temps, la présence d'un revenu universel accessible à tout le monde. Cependant, pour que cet universalisme fonctionne, il faudrait que tout le monde puisse avoir le choix de travailler ou de ne pas travailler. Or, ce n'est pas possible car il y a des métiers qui sont nécessaires au bon fonctionnement de la société (maintenance des machines, etc.).
Bentham remarque qu'il n'y a pas que le plaisir qui nous guide dans nos actes mais aussi d'autres choses comme la peine et le dégout. La dignité humaine pour lui est notre capacité à ressentir. Il met deux points en évidence. Le premier est le principe d'utilité, la capacité qu'à un objet ou une décision de contribuer à l'augmentation d'un plaisir et à diminuer une peine (utilitarisme). Le second point est le principe d'égalité sur tous les êtres humains, il n'a pas que son utilité qui compte mais aussi celle de tous les partis prenants de l'action. Il essaye donc de maximiser le bonheur global. Il est à noter que Bentham considère ce raisonnement pas seulement pour les hommes mais pour tous les êtres vivants capable de ressentir.
La conséquence principale de cette automatisation sur l'emploi serait une augmentation du taux de chômage à court terme. Les périodes de chômages seraient beaucoup plus longues car il ne serait pas possible d'acquérir un emploi rapidement si nous ne possédont pas les compétences requises pour la société. Par ailleurs, les revenus de l'Etat se verraient amoindris étant donné que les revenus sont proportionnels au nombre de travailleurs.