Notre enquête

Afin de réaliser notre travail, nous avons interrogé une centaine de personnes pour avoir leur point de vue sur le BodyHacking. Voici nos résultats :

Nous remarquons que notre public est principalement composé de femmes. La tranche d'âge est au-delà des 30 ans pour la majorité et notamment pour la plupart des travailleurs. Le bodyhacking consiste à l’introduction d’un composant artificiel à l’intérieur de son corps. Cette intégration peut avoir différents niveaux. Nous avons donc demandé à notre public s'il avait des tatouages ou piercings afin de visualiser s'il est dérangé par le fait d'introduire du liquide (tatouages) ou des objets (piercings) dans son corps.

Nous avons poursuivi en augmentant le niveau de difficulté de réponse aux questions et en accentuant un à un le niveau de modification des aptitudes physique. Nous entendons par cela le fait de faire des améliorations qui pourraient être des supports de vie à des personnes avec des handicaps naturels, ou encore qui créeraient une nouvelle classe sociale de surhumain. « Prenez le cas où la montre connectée serait munie d'un capteur capable de pouvoir examiner le taux d’insuline dans le corps, penseriez-vous que cela serait une amélioration de vos aptitudes physiques ? » Par cette question, nous avons voulu viser la première catégorie, c'est-à-dire mettre en avant un besoin primordial et voir le degré de nécessité du bodyhacking. Voici nos résultats :

Pour augmenter d'une étape et estimer l’utilité du body hacking, nous avons posé la question suivante :

Tandis que pour celle-ci, nous voulions mesurer la pertinence du body hacking.

Dans la section des commentaires, nous avons pu distinguer différents pôles. Un de ceux-ci montre que le body hacking peut être une technologie innovante qui serait d’une grande utilité dans le cas où l’on voudrait palier un handicap. Mais dérengeant si nous nous en servions pour faire de l’être humain un être surpuissant. Un autre avis partagé par plusieurs personnes est que l’homme est constitué de limites naturelles qu'il est interdit de franchir. Généralement ce sentiment s’accompagne d’une peur de l'inconnu du bodyhacking.