Synthèse

Les avis sont variés quant au transhumanisme. Les technologies transhumanistes deviennent de plus en plus concrètes et il est nécessaire d'apporter un avis critique.

Les principaux problèmes qui se posent sont l'humanité des transhumains, l'uniformisation possible de la société, les disparités sociales et la peur de l'immortalité. En fait, certains considèrent que les améliorations du quotidien apportées par les nouvelles technologies, telles que nos smartphones, constituent en soi une sorte de prothèse bionoqie qui augmente nos connaissances (via une recherche internet accessible par exemple). Cela pourtant ne dérange pas grand monde, il faudrait donc savoir quelles limites apporter au tranhumanisme.

Nos recherches et nos sondages montrent que pour une personne, la moralité de l'utilisation du transhumanisme dépend fortement de l'utilisation même et de son contexte. Une utilisation qui semble bien acceptée est le remplacement d'un membre perdu lors d'un accident. En revanche, le transhumanisme semble poser problème lorsqu'il crée une division sociale ou qu'il risque d'altérer le bonheur de certaines peronnes (par exemple lorsqu'un transhumain pourrait être intégré dans un circuit sportif classique ou qu'un transhumain pourrait être intégré à l'armée). Beaucoup semblent s'accorder sur le fait que le transhumanisme ne doit pas faire l'état d'un moyen de puissance ou de coercition. Si certaines notions comme le remplacement d'un membre perdu lors d'un accident semble faire l'unanimité selon l'éthique abordée, certaines notions ont plus de mal a être acceptées effectivement.

Un autre pôle semble être l'eugénisme et l'aspect du travail. Beaucoup de métiers ne sont actuellement pas remplaçables par une intelligence artificielle mais les transhumains seront assurément avantagés. Il faudra donc veiller à l'avenir à prendre en compte l'avis des différents corps de métiers.

Les questions posées sur la page d'accueil de ce site n'ont pas vocation à avoir une réponse claire. Globalement, la moralité de l'utilisation du transhumanisme dépend de la situation. S'il fallait absolument trancher en fonction de l'avis global qui ressort de nos recherches, Pierre ainsi que Thomas et Jean devraient avoir recours au transhumanisme tandis que James devrait s'abstenir. Néanmoins ces réponses ne doivent pas avoir lieu d'être sans être nuancées.

Notre avis

Nous avons voulu réaliser ce travail en étant aussi impartiaux que faire se peut. Néanmoins nous avons notre avis sur la question et il est difficile de ne pas en tenir compte. Etant tous les quatre passionnées de nouvelles technologies, nous sommes favorables au développement du transhumanisme. Ingénieurs de demain, nous avons certainement un rôle à jouer dans le développement de l'intelligence artificielle au service de l'homme, nous souhaitons donc que la société évolue en ce sens. Nous apportons tout de même une nuance : l'intelligence artificielle prenant une vraie place dans notre humanité, elle se doit être régie par des lois au même titre que les humains le sont. Les dérives peuvent être évitées avec une éthique adaptée.